Juste s’abandonner à l’intimité de l’instant partagé.
Le temps ne s’écoule plus dans la pulsation des secondes au cadran de l’horloge mais en battements de coeur, en sensuelles sensations, en sourires et en murmures.
Alors chuuuut… Abandonne toi.
Perception des cordes de jute.
Passage dans la 4ème dimension.
Mon pendule pour dilater… le temps.
La Maîtresse du temps.
Stigmates.
Juste s’abandonner… c’est exactement ça.
Un abandon total. Un abandon absolu.
Ne plus rien maîtriser et de toutes façons ne même plus avoir la volonté de contrôler quoi que ce soit.
Ne même plus s’appartenir…
Plus que s’abandonner… tout simplement se donner… faire don de soi, offrir son âme et son corps à la maîtresse… les lui confier…
Maîtresse en fera ce qu’elle voudra…ça n’a plus d’importance et c’est parfait ainsi cela ne pourrait pas être mieux.
Que pourrait-il y avoir de mieux comme sort que d’être la propriété de Maîtresse, sa chose, son simple jouet ?
Et puis…obéir, subir, ramper servilement et plein d’adoration à côté de ses magnifiques escarpins… de l’un à l’autre de ses jeux capricieux… toujours sur le fil entre douleur et extase, traînant ses chaînes sur le pavé…
Et après… les noeuds se dénouent… les cordes se desserrent pour glisser sur la peau une seconde fois…
La libération.
Les émotions qui se bousculent, se mélangent… les images qui reviennent… les sons… la musique de votre voix, de votre rire… de votre souffle…
On se sent un peu … bizarre… comme délicieusement groggy… à la fois vidé et comme enfin rempli.
On masse ses « stigmates » un sourire en coin, convaincu d’avoir vécu quelque chose de très fort et de rare… On sait qu’on est chanceux, très chanceux.
Il est toujours difficile de mettre des mots sur ses émotions, sur ce qui se passe
dans la tête et dans le coeur lorsqu’on est prisonnier de votre toile, Divine Maîtresse, alors…
Je vous dirai simplement merci, merci infiniment d’être ce que vous êtes.
Vous pratiquez votre art avec tant d’élégance, d’intuition et de générosité.
Vous me devinez… non, plus que ça : vous me savez.
Non mieux que cela … vous m’emmener vers des chemins qui étaient en moi et dont j’ignorais l’existence…
Douloureusement et affectueusement,
soumis olivier
Maîtresse, nu dans votre toile, totalement abandonné, oh que vous êtes divine et perverse !!!!!!,
merci pour ce partage,
Serge
Bon, oui Maîtresse, être suspendu, tout à vous, à vos envies, à vos désirs, Maîtresse du temps passé entre vos mains, le tic tac est remplacé par votre voix, vos pas, le cuir de vos escarpins, cuissardes, votre body ou pantalon…, les liens, Maîtresse Akina, vous êtes belle, je baise vos pieds.
Bonjour Maîtresse, vous êtes la maîtresse du temps, la reine qui provoque l’abandon, je veux m’abandonner à vous Maîtresse, à vos envie du moment… bises
Bonjour Maîtresse Akina.
Comment ne pas s’abandonner entre vos mains lorsque vous décidez de suspendre le temps.
Chaque heure devient minute ; chaque minute, seconde.
Et puis les secondes ne s’écoulent plus. Ne plus entendre le tic-tac de l’horloge mais percevoir les autres sons qui étaient comme cachés et que vous prenez plaisir à nous faire entendre pour mieux les utiliser à votre guise, pour nous marquer encore plus de votre empreinte et des marques qui montrent que cela n’est pas un rêve mais bien notre réalité, cette réalité qui nous donne encore plus envie de rester enfermé dans cette espace – temps dont vous êtes la Maîtresse.
En vous faisant un baiser sur chacun de vos pieds en signe d’allégeance à la Reine que vous êtes.
Ohhh Maîtresse,
Quelle superbe idée !
S’abandonner dans vos mains et ne plus avoir aucune idée du temps écoulé, une heure, une journée, une semaine, le reste du temps…
Un rêve inachevé, mais en partie vécu et à chaque fois avec plaisir !
Tic, tac, octobre approche à grand pas.