« Avant que tu ne mettes entre des parenthèses
Le divin obscur pour… je ne sais quelle ascèse !
Il faudra mon fléo, nous ac-corder encore,
Mais rien d’autre tu n’auras à offrir que ton corps ;
Moi j’apprécie de faire les choses comme il se doit ! »
Ainsi, en sa sagesse, parla Belle Akina
Se peut-elle refuser, une telle demande ?
Ne pas Vous présenter mon corps pour seule offrande ?
Non, bien sûr, il advient ce que Maîtresse veut
Esclave un jour, toujours, j’ai prononcé mes vœux
Mais Je le dis, l’écris, Vous le savez Maîtresse !
Ce n’est pas point final, je Vous en fais promesse !
Comment puis-je échapper aux sirènes de l’antre ?
On ne s’en sort jamais sitôt que l’on y entre !
Une fois, deux fois l’an, en long séjour de liens
Je reviendrai à Vous en soumis petit chien
Laissez, je Vous supplie, ma somptueuse Dame,
Une porte entrouverte aux promesses de l’âme !
Tenez, là, à l’instant, posez vos conditions,
Et au calendrier, j’inscris le divin nom !
Le temps de réunir tous les justes moyens,
Et déjà à l’été, l’enjugué Vous revient !
Reine Akina, je Vous remercie ardemment,
De Votre attachement… à notre attachement.
Votre (fléo).
Bonjour Maîtresse Akina.
Une très jolie poésie que l’on prend grand plaisir à lire. Elle donne toute sa beauté aux photos et à la vidéo que vous nous faîtes la gentillesse de partager avec nous.
Une parenthèse qui risque fort de lui sembler bien longue, voire interminable tant cette cérémonie qui marque l’ouverture de cette faveur que vous lui avez accordée a dû être des plus marquantes et des attachantes.
Il reviendra aussi vite qu’il s’est absenté, en suivant le chemin que vos cordes ont tracé dans sa tête de manière indélébile.
En vous faisant un baiser sur chacun de vos pieds en signe de respect à la Reine que vous êtes.
Rire !
Encore une expérience qui parle 😉
Je suis le tarmac 🙂
Parenthèses à part, Maîtresse AKINA saura si fléo s’en alla s’ac-corder ailleurs. Goûter d’autres saveurs interdites auprès d’une autre Reine. Attention donc !
Oui Reine AKINA le saura. Alors gare à toi. Ton retour dans sa toile risquerait alors … d’être somptueusement douloureux. Alors ne soit pas inconscient du privilège que tu as, d’être entre les mains d’AKINA, car faire partie de son cheptel, c’est en réalité un titre de noblesse. Alors montre toi digne et reviens vite.
Yannick.
Cela m’a tout l’air d’un retour d’expérience…
Non, il ne s’en va pas, il me revient 😉
Un instant, j’ai pensé que les parenthèses étaient mises par votre silence prolongé…
Crime de lèse-parenthèse inexcusable… qui sera sans aucun doute effacé par le Capuccino !!!
Oli le marqué.
Parfois partir pour mieux me revenir n’est pas toujours une mauvaise idée !
A bientôt.
Divine Maîtresse,
je ne suis pas certaine que ce soumis sache ce qu’il perde… Il va sûrement vite revenir à vos pieds… Soumis(e) un jour, soumis(e) toujours, n’est-ce pas la devise de votre antre, Maîtresse ?