Voici la deuxième évocation de mes séances du moment. Cellophane noir, sangles de cuir, cordes, foulards de soie… Hmmm… jouer avec un soumis momifié très étroitement ! Délice en partage.
Bonjour Maîtresse Akina.
Une deuxième évocation sous le signe du doux parfum de la contrainte.
Voir cette main toucher, caresser, effleurer ce soumis comme une forme de douceur de votre part et d’entendre votre mélodieuse voix qui lui fait comprendre que, non, il ne rêve pas, que tout cela est bien réel.
Deux publications en deux jours de suite vous nous gâtez !
En signe de respect envers la Reine que vous êtes, pour vous en remercier, je m’agenouille pour vous faire un baiser sur chacun de vos pieds.
Bonjour ma Maîtresse.
Je vois un esclave prêt à être sacrifié sur l’autel de la soumission.
Un esclave neutralisé dans un cocon pour le seul plaisir de sa Maîtresse.
Un esclave hypnotisé mais consentant prêt à être dévoré.
Une Reine toute puissante qui a le pouvoir de disposer de ses esclaves comme il lui plaît.
Merci de nous faire partager ces instants envoûtants.
Je vous lèche les pieds ma Maîtresse.
Mais pourquoi tant de douceurs ? Tant de cordes ? Tant de sangles ? Qui ne sont pas miennes ? Capucino, oui ! Mais l’immobilisation au service et au plaisir évident de la meneuse de revue, quelle extase à partager… après la chandelle, sortez la paraffine pour mieux nourrir les flammes du désir…
Divine Maîtresse,
avoir été dans un tel « saucissonnage » a été un vrai plaisir pour votre soumise, un moment inoubliable que d’être ainsi un jouet dans vos mains.
J’aurais pu rester ainsi toute une nuit, et c’est avec plaisir que je vous appartiens, Maîtresse, pour un instant, une heure, une nuit. Heureuse à chaque fois de vous appartenir.
Merci Maitresse.
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Bonjour Maîtresse Akina.
Une deuxième évocation sous le signe du doux parfum de la contrainte.
Voir cette main toucher, caresser, effleurer ce soumis comme une forme de douceur de votre part et d’entendre votre mélodieuse voix qui lui fait comprendre que, non, il ne rêve pas, que tout cela est bien réel.
Deux publications en deux jours de suite vous nous gâtez !
En signe de respect envers la Reine que vous êtes, pour vous en remercier, je m’agenouille pour vous faire un baiser sur chacun de vos pieds.
Bonjour ma Maîtresse.
Je vois un esclave prêt à être sacrifié sur l’autel de la soumission.
Un esclave neutralisé dans un cocon pour le seul plaisir de sa Maîtresse.
Un esclave hypnotisé mais consentant prêt à être dévoré.
Une Reine toute puissante qui a le pouvoir de disposer de ses esclaves comme il lui plaît.
Merci de nous faire partager ces instants envoûtants.
Je vous lèche les pieds ma Maîtresse.
Mais pourquoi tant de douceurs ? Tant de cordes ? Tant de sangles ? Qui ne sont pas miennes ? Capucino, oui ! Mais l’immobilisation au service et au plaisir évident de la meneuse de revue, quelle extase à partager… après la chandelle, sortez la paraffine pour mieux nourrir les flammes du désir…
Divine Maîtresse,
avoir été dans un tel « saucissonnage » a été un vrai plaisir pour votre soumise, un moment inoubliable que d’être ainsi un jouet dans vos mains.
J’aurais pu rester ainsi toute une nuit, et c’est avec plaisir que je vous appartiens, Maîtresse, pour un instant, une heure, une nuit. Heureuse à chaque fois de vous appartenir.
Merci Maitresse.