Bonjour Maîtresse Akina.
De merveilleux et superbes souvenirs que ceux-ci, lors de cette soirée qui fut tout simplement royale.
Mais comment pouvait-il en être autrement avec autant de Reines présentes et, notamment, vous.
Un immense et grand plaisir que de vous avoir revue à cette occasion.
En m’agenouillant pour vous faire un baiser sur chacun de vos pieds en signe d’allégeance à la Reine que vous êtes.
Vous m’avez fait l’immense honneur de m’accepter à Vos côtés pour cette merveileuse escapade parisienne pendant laquelle j’ai eu le grand bonheur, avec les Vôtres, de Vous servir.
Quelle fierté de retrouver son statut d’esclave de Vous, de Vous si Belle, de Vous si Reine des Reines, rayonnante de présence, d’exigence, de générosité, d’écoute…
Vous me faîtes à présent le non moins grand honneur de publier le témoignage de cette belle aventure, ô combien importante symboliquement pour Votre serviteur, comme Vous le savez.
Soyez donc doublement, que dis-je, infiniment remerciée. Je me fais un devoir Maîtresse de rester digne de ce cadeau exceptionnel que Vous me fîtes.
Et voici la toute puissance des reines ébènes supérieures…
Bonjour Maîtresse Akina.
De merveilleux et superbes souvenirs que ceux-ci, lors de cette soirée qui fut tout simplement royale.
Mais comment pouvait-il en être autrement avec autant de Reines présentes et, notamment, vous.
Un immense et grand plaisir que de vous avoir revue à cette occasion.
En m’agenouillant pour vous faire un baiser sur chacun de vos pieds en signe d’allégeance à la Reine que vous êtes.
Maîtresse, Divine Maîtresse,
Vous m’avez fait l’immense honneur de m’accepter à Vos côtés pour cette merveileuse escapade parisienne pendant laquelle j’ai eu le grand bonheur, avec les Vôtres, de Vous servir.
Quelle fierté de retrouver son statut d’esclave de Vous, de Vous si Belle, de Vous si Reine des Reines, rayonnante de présence, d’exigence, de générosité, d’écoute…
Vous me faîtes à présent le non moins grand honneur de publier le témoignage de cette belle aventure, ô combien importante symboliquement pour Votre serviteur, comme Vous le savez.
Soyez donc doublement, que dis-je, infiniment remerciée. Je me fais un devoir Maîtresse de rester digne de ce cadeau exceptionnel que Vous me fîtes.
Vôtre, tant.
Léo