« En mai fais ce qu’il te plaît » prescrit l’adage. J’ai donc chaussé mes hautes bottes, mon épousant legging, mon chemisier léger dont la discrète connotation shibari ne vous aura pas échappée, mon corset de cuir pour me livrer à cette petite cérémonie printanière que j’ai plaisir à partager avec vous.

En hommage à John Willie, une planche BD (SM) signée Maîtresse Akina.

Dernière publication de la petite série annoncée. Maîtresse Akina donne corps et cordes à son envie de mêler shibari et yoga. Les jeux d’impact sont là pour tester la zénitude du yogi. Il reste encore un peu de chemin jusqu’au nirvâna.

Revoici Maîtresse Akina avec un nouveau témoignage de séance sur l’un de ses thèmes favoris : le strappado, posture dont l’inconfort, au fil du temps, devient de plus en plus douloureux. Évidemment, Maîtresse Akina adore faire durer le plaisir. Les plus aptes à s’abandonner à ce supplice verront leur opiniâtreté récompensée…
Bonne dégustation.

En quête d’un peu de légèreté après la punition de la séance précédente, Maîtresse Akina joue avec un esclave qu’elle attache en position de hogtie vertical.

Maîtresse Akina punit de cent coups de fouet un esclave qui lui a manqué de respect. Attaché en hogtie vertical, il ne pourra se substituer au châtiment sévère… mais juste.

Une sissy, en bottines à talons aiguilles, collier et cagoule subit une suspension sur un genou et la délicieuse torture d’un plug électrique.

Images et récit suggèrent une punition au fouet. Seuls les préparatifs et l’intention sont explicites. Au visiteur d’imaginer le reste…

Cellophane noir, sangles de cuir, cordes, foulards de soie… Maîtresse Akina joue avec un soumis qu’elle a momifié très étroitement.

Evocation de la première séance d’une série de huit.
Une séance sur le thème de la chandelle…